Plus il y a de gruyère

jeudi 23 octobre 2008

barre de rire @ saint michel de st mandé



today dans le parisien édition val de marne nous avons pu lire qq chose d'assez ouf........... MAIS VRAI.... TOTALEMENT VRAI

ci dessous un ctrl C ctrl V de l'article relatant les faits du lycée aux 100% de réussite au bac S et ES --> source

que du bonheur, que de nostalgie hihihi

on se rends compte que rien n'a changé depuis 2000, l'année de notre bac. Enfin la vérité éclate.

Mr booby trap s'est fait attraper.

To be continued

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SOULEVANT « un défaut de gestion de l’établissement et du harcèlement moral de la part du proviseur », une grande partie des professeurs et des personnels de l’établissement Saint-Michel-de-Picpus, à Saint-Mandé, s’est mise en grève hier.

Peu ou pas vraiment avertis, hormis par une grande banderole, « Saint-Michel-de-Picpus en grève.
Professeurs et personnels harcelés », accrochée aux grilles du collège-lycée, les élèves et leurs parents étaient à la fois un peu hagards et affolés.

Et c’est une première dans l’histoire de cet établissement, 4 e meilleur lycée du département. Aucune grève n’était venue ternir la bonne réputation de l’établissement privé, catholique, sous contrat avec l’Etat, depuis 1969, date à laquelle la congrégation de Sainte-Croix s’installe dans les locaux.

« Rien n’est réglé aujourd’hui, cela va être long »

Mais hier, l’inquiétude des parents et de quelques-uns des 1 200 élèves (de la 6 e au BTS) faisait écho au ras-le-bol de la majorité de l’équipe enseignante et du personnel. « Il s’agit d’un conflit entre la direction, notre proviseur Alain Fauconnier, les professeurs et le personnel », précise l’un des enseignants grévistes, qui souhaite laisser les élèves en dehors du sujet. « Outre la mauvaise gestion de l’établissement, le manque de matériel, nous ne sommes pas respectés, mais souvent méprisés et harcelés », poursuit un autre. Et les témoignages fusent autour de la grande table : menaces proférées ouvertement, dénigrement du travail, grossièretés, manoeuvres de déstabilisation, mais aussi manque d’informations et déni des règles de recrutement.

Hier encore, le proviseur assurait ses cours d’anglais comme à l’accoutumée, tout en gérant au mieux les groupes d’élèves et de parents en attente d’information. Pour ce qui concerne le sujet du harcèlement, il répond sereinement que « c’est surtout de l’ordre du fantasme et que cela émane de certains professeurs qui se voient rappeler un peu vivement leurs obligations de travail. »

Du côté des parents, le cœur balance, là encore : « Les Fauconnier (NDLR : l’épouse du proviseur est CPE de l’établissement) sont des gens exceptionnels avec les enfants, affirme Sabrina Elbaz, maman de deux élèves de 5e et 1 r e . Je crains le pire s’ils venaient à partir… » Le ton est différent pour un autre parent d’élève, qui préfère rester discret pour le moment : « Il n’est pas très arrangeant quand il y a un vrai problème », affirme-t-il.

Aujourd’hui, les cours reprennent normalement.

« On sait que rien n’est réglé aujourd’hui, reconnaît un enseignant. Cela va être long. Mais des dossiers vont être montés et on peut dire que la pression est inversée. »

Le Parisien"

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